• La vie est précieuse, notre terre est précieuse, les animaux sont précieux, le respect est précieux........

    Merci au plongeur pour partager son expérience d'osmose.....


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  • A voir ce documentaire sur Notre Dame des Landes


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  • A SeaWorld, « l’ère des orques en captivité va prendre fin ». Le célèbre parc aquatique américain a annoncé, jeudi 17 mars, qu’il allait mettre un terme à son programme controversé de reproduction d’orques. C’était l’une des principales réclamations des associations de défense des animaux dans leur campagne contre SeaWorld.

    Les conditions de vie des orques à Seaworld avaient fait l’objet, en octobre 2013, d’un documentaire, intitulé Blackfish (L’Orque tueuse). Le succès populaire de ce film, largement récompensé à travers le monde, avait terni la réputation du parc, dont la fréquentation n’avait cessé de diminuer depuis. Le groupe avait bien tenté de redorer son image auprès de l’opinion publique, esquissant notamment la fin des spectacles mettant en scène des orques, mais les associations de défense des animaux avaient dénoncé des mesures de communication, qui ne changeaient rien aux conditions de vie des animaux.

    Lire aussi :   Spectacles d’orques : comment Seaworld essaie de noyer le poisson

    « Changement décisif »

    Cette fois, l’annonce est lourde de conséquences, car elle implique, à terme, qu’il n’y aura plus d’orques en captivité aux Etats-Unis. Le parc d’attractions a en effet arrêté depuis quarante ans de les capturer dans leur milieu naturel, et la plupart des animaux actuellement dans les aquariums sont nés en captivité.

    La réalisatrice de Blackfish, Gabriela Cowperthwaite, s’est félicitée de ce « moment charnière ». « Le fait que SeaWorld renonce à la reproduction des orques en captivité est un changement décisif », a-t-elle ajouté.

    Cette concession majeure de la part de l’entreprise, qui s’appliquera dans ses trois parcs (San Diego, San Antonio, et Orlando), aura d’importantes conséquences pour l’avenir de SeaWorld. « La société change et nous aussi. SeaWorld écoute et s’adapte », écrit le groupe dans son communiqué. La trentaine d’épaulards qui se trouvent dans les aquariums du parc ne seront pas relâchés en mer — « nos animaux n’y survivraient pas », écrit l’entreprise — mais feront l’objet désormais de programmes éducatifs et scientifiques, affirme le groupe.

    Lire aussi :   La captivité des cétacés sous le flot des critiques

    Si les Etats-Unis ouvrent la voie à la fin de l’exploitation des orques dans un but ludique, ce n’est pas le cas dans le reste du monde. Les spectacles mettant en scène des orques se développent très fortement dans les pays émergents, notamment dans les monarchies du Golfe, en Chine, en Inde et sur le continent africain.

    image: http://s1.lemde.fr/image/2016/03/17/534x0/4885016_6_77b8_des-orques-au-parc-seaworld-de-san-diego_d4e38b012eb1592974b1e4abf793367b.jpg

    Des orques au parc SeaWorld de San Diego.  REUTERS/Mike Blake Des orques au parc SeaWorld de San Diego. REUTERS/Mike Blake MIKE BLAKE / REUTERS
    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2016/03/17/seaworld-annonce-la-fin-de-son-programme-de-reproduction-d-orques-en-captivite_4885017_1652692.html#j6t0ftOAeRDeLA5t.99

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  • 1000 kilomètres de routes solaires pour éclairer nos villes en 2020

    colas-wattway

    La Ministre de l’Ecologie, Ségolène Royale, s’est dite favorable à l’installation en France de près de 1.000 kilomètres de routes solaires d’ici à 5 ans, soit en 2020.

    Elle souhaite installer près de 1.000 kilomètres de routes solaires d’ici à 2020. C’est la technologie WattWay de Colas qui devrait bénéficier de ce coup de pouce, un système développé en partenariat avec l’Institut National de l’Energie Solaire (Ines).1000 kilomètres .Il s’agit de dalles photovoltaïques d’une trentaine de centimètres de long et d’une dizaine de large, qui ne mesurent que 7 millimètres d’épaisseur, structurées en « mille feuilles » et recouvertes d’un mélange de granulats de verre recyclé et de résine.

    Autre atout de cette technologie, une route d’un kilomètre recouverte avec ces pavés pourra  assurer en moyenne l’éclairage public d’une ville de 5000 habitants

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