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     Nos séjours de 2 jours pour découvrir des techniques de bien-être

    Halima, relaxologue diplômée par Isthème et certifiée en Amma-shiatsù et différentes techniques énergétiques  , pose de voix et développement personnel
    "Je mettrai mes compètences à votre service durant nos rencontres dans la simplicité et la bonne humeur"
    En séances individuelles ou ateliers collectifs . ( voir  lien avec mon mon blog )

    Prises de RV

      Halima BOIS 06 79 07 57 24 ou

     Contact de l'association:  Mr Leroy  Abdellatif 07 86 35 22 87

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    Siège de l'association:    villa « choukrane » route de Méreuil 05700 SERRES    siret:503 340 366 00015      

     


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  • BONUS - 13 06 2013 - 6:54 - Marie Janneau

    LA COHERENCE CARDIAQUE

     

    La notion de cohérence cardiaque a été introduite par le Dr. David Servan-Shreiber dans son livre « Guérir » le stress, l’anxiété et la dépression en octobre 2003. Il a consacré deux chapitres de son livre à la présentation des publications de l’Institut HeartMath de 1993 à 1997.

    Du reste il restera un ardent défenseur du concept, puisqu’il en reparlera dans l’ensemble de ses livres,  « Anti-Cancer » et « On peut se dire au revoir plusieurs fois », dans lequel il indiquait qu’il pratiquait tous les jours 15 mn de cohérence cardiaque.

    C’est en 1995 que l’on a parlé pour la première fois de la forte influence du cœur (l’organe) sur les émotions, et que l’on a expliqué comment les signaux du cœur peuvent être utilisés pour ramener le calme dans l’ensemble du corps, cerveau compris. Cette méthode donne la possibilité de pouvoir être clair dans ses décisions, d’avoir des pensées fluides et de bien contrôler les situations.

    Les chercheurs ont démontré que le cœur est une composante clé du système émotionnel. Les signaux générés par son activité rythmique jouent un rôle majeur dans la détermination de la qualité de nos expériences émotionnelles. Les signaux du coeur impactent profondément les fonctions cognitives en vertu d’un réseau de communication entre le cœur et le cerveau.

    Les études menées à l’Institut HeartMath ont même indiqué que le cœur semble jouer un rôle clé dans l’intuition. Les différentes recherches ont démontré que différents modes de l’activité cardiaque (qui accompagnent les différents états émotionnels) ont des effets distincts sur la fonction cognitive et émotionnelle.

    Lors d’un stress ou lorsque apparaissent des émotions désagréables, la courbe du rythme cardiaque devient irrégulière et désordonnée. Les signaux neuronaux du cœur qui vont vers le cerveau inhibe les fonctions cognitives supérieures. Cela limite notre capacité à penser clairement, se souvenir, apprendre, raisonner et prendre des décisions efficaces. Le cœur durant l’apparition des émotions stressantes ou négatives a également un effet profond sur le processus d’apprentissage du cerveau en renforçant l’expérience émotionnelle de stress.

    La majorité des personnes pense que le cœur au repos était fonctionne un peu comme un métronome, battant régulièrement, avec un rythme régulier.

    Les scientifiques et les médecins savent maintenant, que c’est loin d’être le cas. La courbe du rythme cardiaque d’une personne en bonne santé, au repos, est irrégulière, avec un intervalle de temps entre deux battements consécutifs en constante évolution. On appelle cela, la variabilité du rythme cardiaque (VRC).

    Les scientifiques et les médecins considèrent aujourd’hui que la VRC est un indicateur important de santé et de bien-être. En tant que marqueur de résistance physiologique et de souplesse de comportement, il reflète notre capacité à nous adapter efficacement au stress et aux exigences environnementales. L’adaptation doit être rapide, quasi instantanée. Chez des individus sains le cœur est également sensible et résistant, préparé et prêt à réagir si nécessaire.

    Le fait de maintenir des émotions agréables durant quelques minutes facilite le passage du corps entier dans une situation bienfaisante et que cet état est scientifiquement mesurable. Cette cohérence est« psychophysiologique », car elle est caractérisée par un niveau d’harmonie élevé dans les processus psychologique (mentaux et émotionnels) et physiologique (corporels).

    Les recherches menées ont abouti à la démonstration que  le cœur est une composante clé du système émotionnel. Les scientifiques savent maintenant que le cœur ne répond pas seulement à l’émotion, mais que les signaux générés par le coeur jouent effectivement un rôle majeur dans la détermination de la qualité de nos expériences émotionnelles en temps réel.

    (Sources: heartmath-france.fr)


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    SOMMAIRE DE LA LETTRE SYNPHONAT n°49

     

    1. ALLERGIE ET INTOLÉRANCES AU BLÉ                                                                 ALLERGIE ET INTOLÉRANCES AU BLÉ

      • Le blé et ses dérivés

      • Diverses formes d'intolérance

      • Une complexité qui empêche toute généralisation

      • Doit-on continuer à consommer des produits à base de blé ? Et si oui lesquels ?

    2. ACTUALITÉ SCIENCES ET SANTÉ

      • Édulcorants et diabète

      • Pilules contraceptives et accidents vasculaires

      • Autisme et grossesse

      • Des compléments alimentaires souvent inutiles ?

      • DMLA et oméga 3

      • Une capsule pour dessaouler rapidement ?

    3. FORMATIONS

      • Téléformations

      • Formations à Montpellier et Toulouse : Approches alternatives du cancer

      • Formation à Aix-en-Provence : Pathologies digestives

      • Formations à Yenne (73), Clermont-Ferrand et Bordeaux : Vieillissement et maladies neurodégénératives

    4. VOTRE AVIS NOUS INTÉRESSE

     

     

     


     

    1- ALLERGIE ET INTOLÉRANCES AU BLÉ

     

    Aujourd'hui, on parle d'un côté d'allergie, d'intolérance, de maladie cœliaque... et de l'autre de blé, de gluten, de levure, de céréales mutées. Il ne s'agit pas de mots différents qui exprimeraient une même chose, mais bien de problèmes de natures différentes, qui sont souvent mélangés dans une nébuleuse confuse. Pour y voir plus clair, il faut entrer dans le détail des différents produits à base de blé et des divers mécanismes d'intolérance.

     

    Le blé et ses dérivés

     

    Lorsque les humains se sont sédentarisés au Proche-Orient (puis en Europe), le blé était la céréale indispensable à la survie des communautés. Les autres continents avaient aussi leurs graines : le riz en Asie, le maïs en Amérique, le mil en Afrique.
    Difficile de savoir aujourd'hui quel était le blé d'origine, mais les variétés anciennes qui ont été retrouvées ont une caractéristique commune : la présence de 7 paires de chromosomes, et un taux de gluten (protéine spécifique de cette céréale) d'environ 7%. Le petit épeautre, que l'on trouve couramment désormais, en fait partie.
    C'est par divers croisements, probablement avec des espèces du genre Aegylops, qu'ont été obtenues les deux principales variétés de blé massivement cultivées aujourd'hui. Le blé dur qui permet d'obtenir les pâtes alimentaires, la semoule (couscous) ou le boulghour contient 14 paires de chromosomes. Le blé tendre ou froment, qui donne une farine panifiable, contient 21 paires de chromosomes. Il y a donc eu, depuis les blés ancestraux, des modifications génétiques.
    Les blés modernes (dur et tendre), ont davantage de gluten que les blé anciens : 10 à 12%. Il s'agit surtout de glutens de nature différente, permettant les applications culinaires et agroalimentaires que l'on connaît. Le froment actuellement cultivé possède un gluten qui donne aux pâtes avant cuisson une malléabilité de rêve, permettant un pétrissage et une mise en forme facile, aussi bien pour les boulangers amateurs que pour les automates industriels.
    On notera également que dans l'échelle des transformations, le blé dur semble moins dénaturé que le froment. Mais les deux sont suffisamment différents du petit épeautre pour que l'on puisse les apparenter à des OGM. La différence est l'absence de manipulation de l'ADN en laboratoire. C'est un procédé de croisement forcé et de sélections, de manière à faciliter l'usage final, et indépendamment de toute valeur nutritionnelle, qui a permis leur transformation progressive.

     

    Diverses formes d'intolérance

     

    Contrairement à la toxicité qui est inhérente à une substance et se manifeste dans tous les organismes, l'intolérance est la conséquence d'un rapport particulier entre un aliment qui ne pose généralement pas de problème, et un organisme pour lequel il va en devenir un. On parlera d'hypersensibilité lorsque de faibles quantités génèrent une réaction excessive, et d'allergie quand cette hypersensibilité se manifeste par un mécanisme immunologique.
    En fonction des mécanismes et des cibles, on distingue plusieurs types d'intolérance aux produits à base de blé, dont les manifestations sont différentes, et qui ne nécessitent pas les mêmes attitudes pour y remédier :

     

    1. L'allergie aux protéines de blé
      C'est une hypersensibilité immédiate, faisant intervenir des IgE. La cible du système immunitaire est une protéine du blé, qui n'est pas forcément le gluten. Il s'agit d'une allergie alimentaire comme les autres, qui peut se manifester par des symptômes variés (gonflement des paupières, asthme, rhinite, signes digestifs...). Elle se diagnostique par un test cutané chez un allergologue ou par révélation d'IgE spécifiques sur un prélèvement sanguin en laboratoire. L'allergie aux protéines de blé est plus rare, que celle au lait, à l'œuf, au soja ou à l'arachide. Elle semble cependant de plus en plus fréquente chez les enfants. Elle peut provoquer des réactions anaphylactiques chez l'adolescent et l'adulte jeune, notamment quand l'ingestion de blé est suivie d'un effort (on parle alors d'anaphylaxie au blé induite par l'effort). En cas d'allergie, tout produit contenant du blé doit être radicalement évité.

    2. La maladie cœliaque
      C'est une maladie auto-immune dont le processus n'est activé qu'en présence de gluten. Environ 1% de la population serait concernée. Il en résulte un processus inflammatoire qui entraîne des troubles digestifs et une importante atrophie intestinale, avec toutes ses conséquences. Le diagnostic est fortement suspecté par la présence de certains auto-anticorps (examen de sang en laboratoire) et confirmé par endoscopie et biopsie de l'intestin. Le régime strict sans gluten est la seule solution à ce jour, et son efficacité est totale s'il est bien respecté.

    3. L'intolérance aux céréales par maldigestion des protéines
      Les deux premières formes sont bien définies, relativement rares, et sont déclenchées par une protéine précise, répondant à une méthode de diagnostic précis. C'est pourquoi elles sont reconnues par la médecine conventionnelle. Cette troisième forme est tout le contraire. Elle n'est pas reconnue par la médecine académique, concerne à différents degrés presque tout le monde, ses mécanismes sont complexes et mal connus, son diagnostic également, et de nombreuses protéines peuvent être en cause, le gluten étant la principale.
      On peut comprendre facilement cette intolérance en considérant que les nombreuses modifications subies par les céréales modernes (blé, orge, seigle, maïs) ont modifié la nature de leurs protéines, et notre tube digestif n'est pas encore adapté à leur digestion incomplète. Le gluten du froment et du blé dur, notamment, est probablement indigeste pour tous les intestins. Les résidus de digestion incomplète des protéines mutées sont différents selon le système digestif de chacun, et les conséquences très variables. Il y a d'abord une inflammation locale au niveau du tube digestif, responsable d'une atrophie intestinale. Suite à la perméabilité intestinale, il peut se produire une activité biologique dans le cerveau (en cause notamment dans les troubles de comportement de l'enfant) et une sensibilisation du système immunitaire conduisant à des réactions inflammatoires à différents niveaux de l'organisme.
      Les méthodes de diagnostic actuellement utilisées visent à montrer soit l'atrophie intestinale (test au lactitol-mannitol, dosage des endotoxines sanguines, dosage de l'IAG urinaire), soit la présence de peptides résiduels du gluten (peptides urinaires), soit la présence dans le sang d'anticorps IgG dirigés contre certaines espèces de céréales.
      Si l'on se réfère à certains dosages des IgG alimentaires, au moins 20% de la population serait concernée. Certains pensent que c'est beaucoup plus. Le meilleur test (et le plus économique) actuellement est l'observation clinique après une éviction de trois semaines, suivie de reprise. La disparition de certains signes avant leur retour avec l'aliment indique clairement que celui-ci ne convient pas.

    4. Intolérance à la levure
      Pour certaines personnes, il a été découvert une intolérance à la levure présente dans le pain. Dans ce cas, on ne retrouve pas le problème avec les produits non levés, ni dans le pain au levain naturel.

     

    Une complexité qui empêche toute généralisation

     

    Pour éviter toute confusion, il est indispensable de n'utiliser les termes d'allergie et de maladie cœliaque que dans les cas où ces syndromes correspondant à des critères de diagnostic précis ont été identifiés comme tels avec les tests de référence.
    Dans tous les autres cas, lorsque l'on constate une amélioration lors de l'éviction ou après la découverte d'IgG positives, on parlera d'intolérance au blé (qui n'est pas forcément une intolérance au gluten !), en intégrant qu'il s'agit d'un problème individuel avec toutes ses singularités. On évitera donc l'analogie avec d'autres cas connus, et toute généralisation.
    Lors des intolérances non allergiques et non auto-immunes au blé, le mécanisme n'est pas une hypersensibilité, mais un processus néfaste qui apparaît au-delà d'un seuil individuel et s'accroît avec la quantité d'aliment ingérée. L'éviction totale, sans trace, comme cela est préconisé pour la maladie cœliaque ou l'allergie, n'est donc pas nécessaire. Il sera en revanche bénéfique d'éviter au maximum de consommer des produits à base de blé, et si cela doit se produire ponctuellement, éviter la quantité, mastiquer abondamment, et soutenir éventuellement la digestion en apportant une protéase complémentaire (Novipaye).
    Pour sortir de l'engrenage installé par une intolérance alimentaire non allergique, il existe diverses préconisations, de la plus extrémiste qui semble excessive (éradication à vie), à la moins contraignante qui semble un peu légère (arrêt de 3 semaines). De nombreux praticiens ont adopté un programme de 3 à 6 mois, 6 mois étant plus sûr, pendant lequel le ou les aliments concernés seront au maximum évités (l'objectif est l'apport 0, la tolérance est de faire au mieux). Pendant cette période, on favorisera la restauration de la muqueuse intestinale par un apport de glutamine, de nutriments indispensables aux entérocytes, de protecteurs de la muqueuse, et une restauration de la flore intestinale. Synertrophic a été conçu pour cela en regroupant toutes ces actions.

     

    Doit-on continuer à consommer des produits à base de blé ? Et si oui lesquels ?

     

    La question est personnelle. Elle dépend de deux facteurs essentiels : la présence d'une maladie chronique ou de troubles chroniques (malaise digestif, fatigue, toux, douleurs...) qui peuvent être améliorés par une alimentation sans blé. Dans certains cas, c'est une simple curiosité qui pousse à tenter l'éviction, et l'observation d'un mieux être motive ensuite à la poursuivre.
    N'oublions pas qu'en dehors de l'allergie et de la maladie cœliaque, l'intolérance est un phénomène progressif, lié à la quantité, et non une hypersensibilité dont les effets sont importants dès la moindre présence de l'aliment. Il n'est donc pas utile de se focaliser sur les produits garantis sans traces de gluten, et la présence de faibles quantités dans un plat n'aura probablement pas de conséquences si on n'y ajoute pas de programmation psychique en ce sens.
    De manière générale, la consommation ou non de blé en dehors d'un contexte d'allergie ou de maladie cœliaque ouvre un éventail complexe d'éléments contradictoires, qui pourront être pris en compte dans un choix :

     

    • Ne plus consommer de produits à base de blé est peu compatible avec une vie sociale et encore moins avec un travail nécessitant des déplacements constants.

    • Quand on cuisine à domicile, et que l'on est motivé, il est relativement facile d'adopter une alimentation sans blé (et sans produits laitiers).

    • Le gluten présent dans le froment utilisé aujourd'hui est très probablement indigeste pour tout le monde, donc bon pour personne, surtout en grande quantité.

    • Le blé dur qui compose les pâtes alimentaires et le couscous est moins transformé que le froment du pain, des pâtisseries et des viennoiseries, et pourrait poser moins de problèmes.

    • Les blés anciens (dont le plus courant est le petit épeautre) ne sont a priori pas concernés par l'intolérance.

    • Parler d'intolérance au gluten lorsque l'on ne supporte pas bien les céréales mutées, en dehors d'une maladie cœliaque, est sans doute approprié pour un grand nombre de personnes, mais c'est aussi une manière de maintenir la confusion. D'une part, il n'est pas certain que tous les glutens soient concernés, ceux de l'avoine et du petit épeautre étant de nature différente. D'autre part, on peut être sujet à l'intolérance avec une céréale non glutineuse (maïs).

    • Du fait de l'intolérance possible à la levure, en cas de digestion difficile après la consommation de pain, il est intéressant de tester ce qu'il en est avec un pain au levain naturel.

    • Pour réduire l'index glycémique, il est préférable de consommer du pain complet. Si on supporte le blé et que l'on choisit un pain complet ou semi-complet, il est préférable que celui-ci soit préparé avec de la farine biologique, car les pesticides se concentrent dans les fibres de la coque, et celles-ci sont présentes dans les farines de type 80 (pain bis) ou plus complètes.

    • Les viennoiseries sont à de nombreux point de vue des aliments peu recommandables pour la santé (farine de froment cuite à haute température, levure, additifs, matière grasse de mauvaise qualité avec risque de formes trans...).

     

     

     


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  • Ce matin, mon corps se réveille perclus de douleurs. Juste de quoi ne pas avoir envie de faire cette journée qui s'annonce coriace au niveau corporel.

    Alors que faire? Si je plonge dans cet état de douleur, je vais y passer la matinée et j'aurai toujours aussi mal.

    Alors que faire? D'abord, je respire: à chaque inspiration j'affirme " Je Suis la vie" à chaque expiration j'exprime "j'évacue mes tensions".

    Ensuite je visualise mes douleurs comme les nuages qui, en ce moment, filent à toute allure dans le ciel. Derrière ces nuages, du ciel bleu, limpide, et le soleil. Il est là même si mes yeux ne le voient pas. Alors je ferme mes yeux et rentre dans ce soleil que mon coeur sent, et tout doucement, avec Amour, je le distille comme un elixir de bonne vie à mon corps. C'est ainsi, avec cette chaleur du coeur - soleil, que j'entoure ce corps douloureux, que j'entoure chacune de ces souffrances.

    Déjà elles sont plus paisibles. Maintenant je peux les envelopper de ma respiration et à travers elle, les assouplir, étirer doucement ce qui est retracté, calmer ce qui brûle, envelopper d'amour ce qui est souffrance, blessures du passé; inviter à la vie et au mouvement ce qui est figé.

    Je visualise le courant de vie qui s'infiltre dans tout mon corps et lui permet d'avancer vers son modèle de lumière, vers sa perfection. J'affirme " mon corps est parfait" et je lui donne le pouvoir d'exprimer cette beauté et cette perfection. C'est possible dès maintenant, je le veux vraiment . Je fais confiance à la force de vie qui opère en moi , la transformation a commencé à se manifester . Je remercie mon corps et ma force de vie en réaffirmant mon amour pour ma vie.

    MAintenant je remercie les douleurs de m'avoir permis ce temps d'amour avec mon corps , elles peuvent disparaître. Je peux aimer mon corps sans leur intermédiaire, désormais je l'aime.

    Maintenant, je fais vivre ma journée remplie de cet amour qui me vivifie, tranquillement, au rythme possible pour me respecter. Tout va bien, je suis en paix avec mon coeur, accueil pour mon corps tel qu'il se présente maintenant.

    Bonne journée à vous tous... Eh, derrière les nuages, il y a le soleil!!! D'ailleurs, il est revenu!!!

    Halima

    relaxation Serres 05: Au delà des douleurs

     


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